» Lorsqu’il sentait son public avec lui, applaudissant et riant de ses  loufoqueries, Omar-Jo changeait brusquement de répertoire.
D’abord,  il faisait taire la musique ; ses pitreries se fracassaient contre un  mur invisible. Ensuite, il laissait un silence opaque planer au-dessus  des spectateurs.  » (Citation d’Andrée Chedid)
